Le petit bonhomme de riz



LIEN YOUTUBE EXTRAIT DU FILM :

https://www.youtube.com/watch?v=Z7g3TJz0EvQ


FICHE TECHNIQUE 

Réalisé par : Rianando Ludovic RANDRIAMANANTSOA
Scénario de : Rianando Ludovic RANDRIAMANANTSOA
1erAssistant à la réalisation : Fenomahery RAMAHOLISON
Script : Tsiory RAZAFINOROVELO
Directeur de la photographie : Nantenaina RAKOTONDRANIVO
Acteurs : Gégé RASAMOELI, Dominique SAVION
Ingénieur son et mixage son : Aina RASAMOELINA
Régie : Michel RADONIRINA
Perchman : Tsiory ANDRIAMANISA
Maquillage et costumes : lovasoa Nathalie RANDRIANTSALAMA
Electro- machino :    Tojo RATSIMBAZAFY, Herizo RABARY
Musique : Rianando Ludovic RANDRIAMANANTSOA, DJAINA
Montage : Toky RANDRIAMAHAZOSOA
Machineries et Lumières : Sté BACKSTAGE 
Producteur  :Mamihasina RAMINOSOA
Producteur exectutif  :Yves RAJAOARISON
Compagnie de production : Digital Developement Communication
Genre : Fiction
Année : 2013
Pays : Madagascar
Langue : Malgache
Format : HD 16/9   
Sous-titrage : Français et Anglais
Durée : 25’
Projeté durant les 8ème Rencontres du Film Court de Madagascar 2013
En compétition officielle au Festival International du Film d’Afrique et des îles (Le Port, La Réunion) 2013.
Vues d'Afrique Au Festival International de Clermond Ferrand 2014
Festival International du film de Fribourg 2014


Court métrage malgache : « Le petit bonhomme de riz », un véritable chef d’œuvre
Le cinéma malgache a été brillamment représenté au festival de Clermont Ferrand. Notre confrère Thierry Sinda a été agréablement surpris par la qualité du film de Ludovic Randriamanantsoa Caméra tout comme le stylo est informative ou poétique. Les poètes de la plume ou de l’image transfigurent  le réel  le plus dramatique. « Le petit bonhomme de riz » de Ludovic Randriamanantsoa  est dans le sillage formel  du «  Vitrier nègre » du poète  Jean-Joseph Rabearivelo : « Le vitrier nègre/dont nul n’a jamais vu les prunelles sans nombre/… cet esclave tout paré de perles de verroterie ». Le proscrit laid devient le personnage principal beau, en l’occurrence respectivement : l’esclave et le gosse des rues. Le plat malgache de base étant le riz. L’enfant des rues de Ramdriamanatsoa vole du riz en trouant les sacs des passants ou les étals des marchés. L’écriture poétique de Ramdriamanantsoa  avare de mots, installe dans un  plan d’ensemble désertique  un passant isolé attendu par le petit voleur de riz, ou encore des gros plans sur les misérables utilisant les ustensiles servant à manger ou préparer le riz volé ; le tout accompagné par les bruits amplifiés de la vie qui à eux seuls deviennent rythme musical, lesquels se mêlent et s’ entremêlent à de la musique instrumentale. Sens et détournements de sens, tel que dans le prologue où avec des plans rapides  les jeunes mendiants  des rues déambulent entre les voitures  en transformant les courtes  paroles de mendicité en courtes  paroles d’histoires  explicitant leur triste condition humaine. Il rejoint « Badou boy » du cinéaste sénégalais Djibril Diop Mambety,  lequel  sur des plans d’un bidonville met l’hymne national.

Thierry Sinda

http://www.midi-madagasikara.mg/


L’Afrique filmée tout court à Clermont-Ferrand


Deux cinéastes malgaches, un Ivoirien et une Sénégalaise explorent, brièvement l’âpre vie quotidienne de leurs pays respectifs.Clermont-Ferrand, envoyée spéciale.  La section Regards d’Afrique présente onze films déclinés en deux volets. De Madagascar, deux courts métrages de qualité s’emparent de sujets sensibles. Le Petit Bonhomme de riz, de Rianando Ludovic Randriamanantsoa, capte sur le vif une communauté de gens très pauvres, dont un petit garçon (Gege Rasamoely) qui crève l’écran. Face à la prostration de ses aînés, le gamin se démène et ruse en se nichant sous les étals du marché pour percer les sacs de riz dont il récolte le contenu dans sa casquette. C’est filmé à bout portant au plus près des visages. L’effet de vérité est confondant.D’un autre Malgache, Gilde Razafitsihadinoina, le court métrage les Enfants de la périphérie donne à voir en parallèle la vie des écoliers d’un village misérable et la condition des casseurs de cailloux. Cette condition faite de gestes durs et répétitifs ne laisse aucune place à l’école.


http://www.madinin-art.net/


L’Afrique filmée tout court à Clermont-Ferrand


Clermont-Ferrand, envoyée spéciale.  
La section Regards d’Afrique présente onze films déclinés en deux volets. De Madagascar, deux courts métrages de qualité s’emparent de sujets sensibles. Le Petit Bonhomme de riz, de Rianando Ludovic Randriamanantsoa, capte sur le vif une communauté de gens très pauvres, dont un petit garçon (Gege Rasamoely) qui crève l’écran.

http://www.humanite.fr/




Le Petit bonhomme de rizConvertir en PDFVersion imprimableSuggérer par mail

affiche_petit_bonhomme_de_riz3jpg.jpgDans les bas quartiers d’Antananarivo, un homme portant un demi-sac de riz se fait régulièrement voler son bien par un petit garçon. Un jour, le petit garçon suit l’homme jusqu’à chez lui et découvre qu’il a une famille.

un film de Ludovic R.Randriamantsoa

Madagascar/ 2013

durée : 26 min

au Plaza, vendredi 4, 18h

Suivez le lien : http://www.festivalfilmafriqueiles.fr/



Actuellement a Nante,au Mada tout court


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